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Mes chroniques

Tortues à l'infini

1/3/2018

1 Commentaire

 

Tortues à l'infini
​John Green

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[Quatrième de couverture] Aza, seize ans, n'avait pas l'intention de tenter de résoudre l'énigme de ce milliardaire en fuite, Russell Pickett. Mais une récompense de cent mille dollars est en jeu, et sa Meilleure et Plus Intrépide Amie Daisy a très envie de mener l'enquête. Ensemble, elles vont traverser la petite distance et les grands écarts qui les séparent du fils de Russell Pickett : Davis.

Aza essaye d'être une bonne détective, une bonne amie, une bonne fille pour sa mère, une bonne élève, tout en étant prise dans la spirale vertigineuse de ses pensées obsessionnelles.

Aza, Daisy, Davis, trio improbable, trouvent en chemin d'autres mystères et d'autres vérités, celles de la résilience, de l'amour et de l'amitié indéfectible.

​[Chronique] 
À la suite de cette lecture, je dois avouer que mon avis est plutôt mitigé. En effet, j’ai bien aimée l’histoire, mais j’en ai pourtant détesté la fin. Je dois dire aussi qu’avec toute la frénésie qui a précédé la sortie de ce roman, mes attentes étaient élevées… peut-être l’étaient-elles trop? Toujours est-il que ce roman de John Green n’a pas réussi à déclasser Nos étoiles contraires (du même auteur) dans mon cœur.
 
Dans ce roman, nous retrouvons Aza, une jeune fille de seize ans prise avec une maladie qui, avant de lire ce roman, m’était très peu familière : elles souffrent de pensées obsessionnelles. Dans son cas, son trouble psychique se traduit par une phobie des microbes qui envahit ses pensées de façon obsessionnelles, l’empêchant ainsi de vivre sa vie pleinement et «normalement». Heureusement, elle a quand même des gens autour d’elle pour l’aider à garder le contact avec la réalité : sa meilleure amie Daisy et, bien sûr, Davis. Ce roman est d’ailleurs, grâce à eux, un bel hommage à l’amitié.
 
Pour ce qui est de l’intrigue, même si ça devrait être le principal de l’histoire, elle passe plutôt au second plan pour laisser la place aux relations entre les personnages et à l’exploration du sujet des troubles obsessionnelles. Je ne peux pas dire si c’est bien ou non, car j’ai aimé le roman comme tel, mais j’aurais également aimé que l’enquête sur la disparition de Russel Pickett, le père de Davis, soit davantage exploité et que sa conclusion ne soit pas aussi prévisible.
 
Malgré tout, j’ai passé un excellent moment avec ce derneir roman de John Green et je remercie Québec Loisirs pour cette lecture.
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1 Commentaire
isallysun link
1/15/2018 14:59:48

Je regarde cette critique puisque je ne veux pas me poiler sur les maudits ;)
Tu piques ma curiosité sur cette lecture! J'aime quand les relations sont mises de l'avant. Après tout, il faut doser, donc je crois pouvoir comprendre ton point de vue sur la disparition. Je n'ai toujours pas lu cet auteur, mais il faut que je le découvre

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